S'accomplir professionnellement, c'est se sentir libre
La vie est parfois sournoise. Nous rentrons dans la vie active, le travail. Une fois que l’on met le pied dedans tout se met à aller très vite. Sans s’en rendre compte les opportunités s’ouvrent à nous et la tentation est trop forte pour les refuser.
Tellement de choses deviennent accessibles, souvent matériels et rapidement assouvis. Une impression de déjà vu ? de déjà vécu ?
L’histoire ne s’arrêt pas là, car nous devenons prisonniers de ses obligations qu’implique notre vie professionnelle. Cela devient un DEVOIR à remplir, une nécessité absolue. Les journées de paye sont attendues et les fins de mois parfois éprouvantes. L’étau se resserre et l’on devient esclave de son travail.
Comme une fatalité
Combien de travailleurs malheureux n’osent pas quitter leur travail parce qu’ils considèrent qu’ils n’ont pas le choix. Ce qui semblait être un tremplin ressemble davantage à un étau. Souvent pour les mêmes raisons : « comment vais-je faire pour remplir mes obligations? mes crédits ? mon entourage doit pouvoir compter sur moi… » Comme si aucune autre issue n’était envisageable.
Le travail est, après la famille, l'un des composants essentiels de l'identité.
D’après 3 études de l’Insée, le travail représente une valeur fondamentale juste après la famille.
Si le travail a une place importante dans notre vie, c’est qu’il est situé au sommet de nos besoins fondamentaux selon la pyramide de Maslow :
S’il est situé au sommet, c’est qu’il ne peut être atteint si les besoins inférieurs ne sont pas comblés.
Accomplissement personnelle et reconnaissance
L’ignorer, c’est repousser à demain d’éventuelles carences qui ne pourront qu’affecter notre niveau de bonheur.